Les recherches de l'unité de BIOEPAR s’inscrivent dans une finalité de gestion de la santé des animaux d’élevage et de santé publique vétérinaire, en intégrant des enjeux de réduction de l’usage d’intrants médicamenteux et de préservation du bien-être animal. Nos objectifs sont de comprendre et d’agir sur les déterminants et la transmission des maladies infectieuses des animaux d'élevage par une approche multidisciplinaire et multi-échelle.
SANTE ANIMALE – ANIMAUX D’ELEVAGE - EPIDEMIOLOGIE – INFECTIOLOGIE - MODELISATION – ECOLOGIE – GENOMIQUE - ECONOMIE
Pr Nathalie BAREILLE
L’Unité Mixte de Recherche (UMR) BIOEPAR relève de 2 tutelles, Oniris et INRAE.
Nos recherches s’inscrivent dans la réponse aux enjeux suivants :
Nos objectifs sont de comprendre et d’agir sur les déterminants et la transmission des maladies infectieuses des animaux d'élevage par une approche multidisciplinaire et multi-échelle.
Ces objectifs se déclinent en quatre questions de recherche :
L'unité regroupe des scientifiques de multiples disciplines : épidémiologie, modélisation, intelligence artificielle, parasitologie, bactériologie, immunologie, infectiologie, pharmacologie, génomique, écologie, biologie de l’évolution, économie, sciences gestion. Cette richesse disciplinaire permet une construction interdisciplinaire des programmes de recherche.
L’unité fait partie de l’Institut Carnot France Futur Elevage.
L’unité regroupe 48 personnels permanents (Oniris et INRAE), 7 contractuels et 11 doctorants. L’unité est organisée en 5 équipes scientifiques :
Les boiteries sont des affections fréquentes et douloureuses qui sont sous-détectées par les éleveurs. Jusqu'à maintenant, plusieurs outils sont testés mais aucun outil fiable n'est disponible sur le terrain. Les chercheurs de l'UMR Oniris-INRAE BIOEPAR s'intéressent à cette question afin d'aider les éleveurs à détecter plus rapidement et en continu les boiteries des bovins laitiers au pâturage.
La graine de lin dans l'alimentation animale a t-elle un impact sur la santé animale ? Les chercheurs de l'UMR Oniris-INRAE BIOEPAR s'intéressent à cette question afin de savoir si en améliorant la nutrition pendant la gestation des vaches laitières, on améliore aussi la santé des veaux.
Saviez-vous que la très grande majorité des gambas que nous consommons sont importées surgelées de l'autre bout du monde ? Un mode de consommation qui ne contribue pas à la protection de l'environnement ni à la lutte contre le changement climatique. Afin de limiter l'importation et favoriser la consommation de crevettes fraîches, des acteurs implantés localement se sont lancés dans l'élevage de gambas. Pour les aider à optimiser la croissance des individus, les chercheurs de l'UMR INRAE-Oniris BIOEPAR travaillent à comparer deux systèmes d'élevage. Kenny Oberlé, chercheur dans l'équipe APIFISH détaille ce projet et les résultats attendus.
Pr Nathalie BAREILLE - Lui écrire
Pr Christine FOURICHON - Lui écrire
Thierry HOCH - Lui écrire
Les recherches de l'unité de BIOEPAR s’inscrivent dans une finalité de gestion de la santé des animaux d’élevage et de santé publique vétérinaire, en intégrant des enjeux de réduction de l’usage d’intrants médicamenteux et de préservation du bien-être animal. Nos objectifs sont de comprendre et d’agir sur les déterminants et la transmission des maladies infectieuses des animaux d'élevage par une approche multidisciplinaire et multi-échelle.